Le web 2.0 et les bilbiothéques

Je suis présentement étudiante à la maîtrise en bibliothéconomie et sciences de l’information et les réseaux sociaux m’apparaissent maintenant comme de grands incontournables pour mon futur travail. Déjà dans le cadre de mes études je dois m’inscrire aux fils RSS de certains cours et visionner une partie du matériel sur des sites comme Daily Motion et You Tubes.

Mon programme d’étude peut mener vers différents types d’emplois selon les cours choisis: bibliothécaire, spécialiste de l’information, architecte en information, etc. Personnellement je m’oriente vers le travail en bibliothèque spécialisée ou centre de documentation. Il s’agit de milieux très structurés puisque c’est leur nature même que d’organiser et de structurer l’information sous toutes ses formes. Le travail vers lequel je m’oriente consiste à faire de la recherche d’information, du catalogage, évaluation, conservation, acquisition mais aussi, de la diffusion. La raison d’exister de toute bibliothèque ou centre de documentation est de répondre aux utilisateurs et la plupart du temps il s’agit d’échanges plus ou moins formels.

Mon rôle sera de trouver et de trier l’information demandée, et ce,  parmi différents supports. Les supports classiques, habituels comme les livres et périodiques ont encore leur place mais une grande partie de l’information se retrouve à l’intérieur des bases de données. Un autre joueur important : l’Internet. De plus en plus d’information pertinente s’y retrouve, plusieurs sites offres une information de qualité. Par exemple : Yahoo! Finances ou Google Scholar qui contiennent beaucoup d’information de grande qualité.

Un des grands défis que les spécialistes de l’information ont à relever c’est de naviguer au travers une masse d’information sans cesse grandissante. Aujourd’hui la difficulté n’est pas de trouver de l’information mais, plutôt, de trier celle qui est pertinente aux besoins de nos utilisateurs. Bien des gens commencent par chercher eux-mêmes sur Internet puis se décourage sous la masse d’information obtenue. C’est à ce moment qu’ils se tournent vers le spécialiste de l’information.

Plusieurs ont crus que le bibliothécaire ou le spécialiste de l’information étaient appelés à disparaître avec l’avènement de l’Internet et de la numérisation des livres et différents types de documents, mais de plus en plus on ressent le besoin d’avoir recours à des spécialistes qui savent classifier et repérer l’information avec efficience et rapidité. Ont peut donc supposer que le travail de bibliothécaire est loin de disparaître mais qu’il vit plutôt sa plus grande période de changement.

Au niveau des bibliothèques publiques  les besoins des utilisateurs évoluent, ils souhaitent, de plus en plus, avoir un accès  facile et rapide à l’information 24 heures sur 24. De plus la croissance du groupe de personnes âgées de 50 à 70 ans, qui sont plus scolarisé que les générations précédentes, devient un facteur puissant qui motive la bibliothèque publique  à «se positionner parmi les fournisseurs d’information et à offrir des ressources gratuites, variées et de qualité».http://encyclo.bibliomontreal.com/actualites/html/commission/commission-biblio-XXI.pdf

L’utilisateur s’attend maintenant à pouvoir effectuer la quasi-totalité des transactions en ligne et à avoir un accès virtuel à la plupart des documents. C’est l’un des grands changements auquel les bibliothèques et bibliothécaires ont dû s’adapter. Cette nouvelle réalité n’est pas complètement assimilée que déjà le Web 2.0 bouscule un milieu qui n’avait vécue que peu de changements au cours de sa longue existence ! Le système de classification décimale Dewey avait été, jusqu’à récemment, le plus grand bouleversement vécu par la bibliothèque, et ce, en plus de 130 années.

Les réseaux sociaux demandent aux bibliothèques de s’adapter encore une fois aux nouveaux besoins de ses utilisateurs. Personnellement je ne crois pas que le ces changements soient aussi importants et demandant que l’arrivée du numérique et de l’Internet l’ont été. La charge de travail devient plus lourde et différente de ce qu’elle était auparavant. Aujourd’hui le bibliothécaire doit alimenter un fil RSS, un blogue et ouvrir un compte Facebook pour sa bibliothèque ou son centre de documentation. Pire, il doit Twitter régulièrement ! Tous ces médias font maintenant partie courante du travail d’un bibliothécaire.

Bien que toutes ses applications sociales soient maintenant considérées comme essentielles on est en droit de se demander s’ils ont vraiment apportés quelque chose aux bibliothèques. Est-ce que plus de gens s’abonnent ou fréquentent les bibliothèques parce qu’elles ont une page sur Facebook ? J’en doute profondément. Je crois que toutes les organisations ont suivi le mouvement par peur de manquer le bateau. Quand l’Internet est arrivé les entreprises ont misent du temps à embarquer et plusieurs y ont perdue qu change. Aujourd’hui, forte de cette expérience, les compagnies ont sautées à pieds joints sur les réseaux sociaux croyant en une opportunité à ne pas manquer.

Les médias sociaux vont-ils rester ? Fort probablement. Il n’y aura pas de retour en arrière et les messages textes vont devenir, pour les nouvelles générations, ce que le téléphone était à la mienne. Facebook semble y être pour rester et les fils RSS aussi. Quant à Twitter je n’ai aucune idée de sa durée de vie, il me semble qu’il s’agit d’un outil dont on se lasse rapidement et qui n’apporte rien que les autres réseaux n’apportent déjà.

Je crois surtout que pour les bibliothèques le plus important sera d’être prêtes pour le numérique. À mon sens les E-book seront la prochaine grande étape à franchir pour les bibliothèques. Ce qui fera pencher la balance en faveur de ces derniers ce sera les appareils mobiles intelligents. C’est ce qui devrait prendre le pavé sur tout et nous envahir avec la même force irrésistible que l’Internet l’a fait il y a 20 ans. Les bibliothèques et centres de documentation devront être prêts à suivre le mouvement et à répondre à la demande. Il y aura toujours place au livre papier. Il serra plus difficile de faire disparaître complètement le livre papier car une image mythique s’y rattache. Les disques vinyles ont disparus pour céder la place aux disques compacts qui à leurs tours vont disparaître, car désuet face au numérique. Aujourd’hui il n’est plus impressionnant de posséder des rangées et des rangées d’albums, un simple iPod impressionne plus.   Les gens veulent transporter facilement et légèrement tout matériel de divertissement. Aussi, ont-ils un plus grand intérêt pour tous les trucs et gadgets électroniques : lire un livre sur son I Pod touch ou son Kindle semble beaucoup plus divertissant que de lire un livre de papier, surtout pour une génération pratiquement née avec un ordinateur dans les mains.

De même que les journaux sont en train de s’éteindre les uns après les autres on peut craindre pour l’existence du livre papier. En effet l’évolution du journal traditionnel vers le Web : blogues, forums, journaux en ligne a causée la fermeture de journaux, et ce, parmi les plus vieux et les plus illustres. Il n’est donc pas surprenant  que les journalistes doivent maintenant se créer une image en ligne pour rejoindre plus de gens et survivre dans une industrie qui tombe. Il demeure toutefois que leur crédibilité de départ n’est pas ce qu’ils ont écrit sur le Web mais bien ce qu’ils ont écrit dans des journaux, livres ou magazines ou ce qu’ils ont dit à la télévision ou à la radio, bref, dans les médias traditionnels. Les nouveaux journalistes doivent êtres marquetés et devenir un ‘’brand’’.

Au cours de la prochaine année les réseaux sociaux ne devraient pas tellement évoluer mais plutôt continuer à s’infiltrer partout. Leur présence pernicieuse va demander aux gens comme moi, allergique aux réseaux sociaux, de s’adapter et de les utiliser. Ma grande peur c’est de commencer un nouvel emploi, dans un tout nouveau domaine, et de devoir alimenter un blogue ou, pire, Facebook. Tous des outils qui me semblent plus utile à perdre du temps qu’à vraiment construire quelque chose.

Dans le monde technologique dans lequel nous évoluons présentement cinq ans c’est une vie. Certains réseaux sociaux plus faibles vont disparaître mais d’autres devraient demeurer. Les outils de bookmarking et de tagging devraient prendre de l’ampleur car, selon moi, les gens aiment bien donner leurs opinions. Mais la plateforme parfaite pour donner son opinion c’est le blogue. Bien que certains blogues apportent vraiment quelque chose à certaines communautés la plupart sont, malheureusement, l’outil parfait pour des gens souffrant de narcissisme.

C’est pour cette raison que les blogues devraient se développer exponentiellement  et survivre à d’autres médias sociaux plus faibles. Après tout nombreux sont les gens qui aiment s’écouter écrire.

Dans mon futur milieu de travail j’imagine que dans cinq ans je serai résignée et devenue une grande Twitteuse sans peur affrontant même Facebook et tous les amis que ça implique. Cependant, j’espère pouvoir y échapper personnellement et n’avoir à y participer que professionnellement. J’ai espoir que l’avantage de ces médias sera d’être plus efficace en répondant à un bassin d’utilisateurs plus large que l’on ne peut le faire avec le courriel.

Si cinq ans sont une vie, que dire de vingt ans? C’est un peu l’équivalent d’une éternité dans le monde des technologies. Tout devrait être portable, mobile et infiniment efficient. Peut-être que,  comme l’institution du mariage qui est à la hausse avec les nouvelles générations, le téléphone aura repris sa place et que les gens seront retournés à un rythme plus lent et plus orienté vers le contact humain direct. On peut espérer… Mais on parle déjà de Web 3.0 alors dans vingt ans on sera peut-être au 7 ou 8.0 et qui peut savoir à quoi ça ressemblera.

Il y a trois ans le site Read Write Web a fait une liste (10 Future Web Trends) pour les 10 prochaines années, c’est intéressant de voir, trois ans plus tard, où nous en sommes par rapport à leurs prédictions. Ils semblent avoir plutôt bien viser.

  1. Semantic Web
  2. Artificielle Intelligence
  3. Virtuals Worlds
  4. Mobile
  5. Attention Economy
  6. Web Sites as Web Services
  7. Online Video / Internet TV
  8. Rich Internet Apps
  9. Interrnational Web
  10. Personalization

http://www.readwriteweb.com/archives/10_future_web_trends.php

Dans vingt ans au niveau professionnel  j’espère bien être à la retraite et ne pas avoir à vivre tous les changements et adaptations nécessaires à ma survie professionnelle. Pour terminer une citation d’une bibliothécaire sur le site de la Canadian Library Association :

« New media and other forms of knowledge dissemination have been constantly evolving over the last century, which is exciting and intimidating at the same time. Far from being the static places many people imagine, libraries are constantly working through and trying to manage change. » Sharon Philip, Branch Manager, Markham Public Librairies http://www.cla.ca/infonation/skills.htm

Sylvie aubin

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Activité B remise: les usines à chiots

ACTIVITÉ B – MONTER UNE INITIATIVE SUR LE WEB SOCIAL

Les usines à chiots: site Web

IDENTITÉ

Nom : Sylvie Aubin Session :Été-automne 2010

Date : 24 octobre 2010 Sigle du cours : INF 6107

Établissement d’appartenance : Université de Montréal

Étape 3. Choix d’un thème
J’ai choisie de parler des usines à chiots. Il s’agit d’un problème très présent au Québec. Dernièrement quelques reportages en ont parlé mais il reste encore beaucoup de travail de conscientisation à faire. Mon but était aussi de nuancer les propos à ce sujet puisque trop souvent les gens prennent une position extrémiste et incluent tous les éleveurs et toutes les animaleries dans le même paquet.

Étape 6. Bilan

1. Expliquez les composantes de votre initiative et leurs liens entre eux. Incluez des liens.
La page principale de mon initiative est une page de site Web que j’ai créer en utilisant le Site Builder de Yahoo. Le logiciel est gratuit mais on doit l’héberger le site sur Yahoo. J’ai choisi le Yahoo Site Builder parce que je le connaissais bien pour l’avoir utilisé pour d’autres sites. Il est simple et facile d’utilisation.
Aussitôt que le site a été mis en ligne j’ai installé le système d’analyse Google Analytics. Ensuite j’ai fait un lien vers ma page principale dans Diigo, en l’étiquetant avec Activité-remise et Activité-B puis j’ai partagé le lien avec le groupe INF 6107.
Le site Web a ensuite été joint à mon blogue par un billet d’introduction. Une page Facebook «Usine à chiots» a été crée, un lien direct avec le site Web y a été ajouté. J’ai incorporé au site des vidéos d’un reportage de Radio-Canada sur les usines à chiots provenant de Daily Motion,
Le tout étant relié par des hyperliens: http://usineachiots.com/

2. Décrivez sommairement les activités que vous avez menées.

Sur le site j’ai inclus des articles publiés par PIJAC, un organisme canadien qui travaille à réglementer l’industrie animalière. Quelques liens avec des organismes, comme la Société protectrice des animaux, ont été ajoutés. En dernier lieu j’ai envoyé le lien Internet pour le site à quelques uns de mes contacts qui travaillent dans l’industrie animalière.

3. Analysez les statistiques de fréquentation sur votre page centrale. Incluez des figures.
Quelle ont été les tendances ? D’où provenaient les visiteurs ? Quels référents se sont avérés les plus importants ?
Analyse du trafic du site principal:
• 50% des visiteurs proviennent d’un accès direct, nous pouvons supposer qu’ils s’agit de visiteurs à qui nous avions communiqué le lien du site par courriel
• près de 39% proviennent de sites référents. Le site référent le plus influent fût Diigo avec six références alors que seulement deux sont arrivés de Facebook. Dans mon cas il apparaît que la référence d’un outil comme Diigo ou Delicious a été plus influente qu’un outil plus «social» comme Facebook.
• une faible proportion de 11% des visiteurs sont arrivés au site des usines à chiots par moteur de recherche
• la période la plus achalandée a été la fin du mois d’août, soit un mois après que le site ait été mis en ligne
• sauf un visiteur qui venait de France, tous venaient du Canada
• le taux de rebond était à 33.33%, le temps moyen passé sur le site est de 1.48 minute et un peu plus de 3 pages ont été vues par visiteur. Tenant compte que le site contient quatre pages (incluant l’index) nous pouvons assumer que les visiteurs étaient, généralement, intéressés par le sujet.

4- Identifiez les principaux facteurs qui, selon vous, ont pu aider ou nuire à la visibilité de votre initiative

Les médias sociaux ne sont pas d’un grand intérêt pour moi ce qui peut expliquer qu’ils n’aient pas été de bons référents dans mon cas. Je n’ai consacré que peu de temps à ceux-ci, et n’ayant pas de compte personnel je n’ai pas pu aviser tous mes «amis» Facebook de l’existence du site des usines à chiots. La promotion a été faite principalement par courriel et par l’entremise de Diigo, d’où le 50% de trafic direct.

J’ai apprécié l’outil d’analyse de Google qui permet de mieux comprendre les sources de références de clientèle. De savoir le temps moyen passé par les visiteurs sur notre site permet de mieux s’ajuster à la clientèle en modifiant, au besoin, le contenu ou l’apparence du site.

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Les médias sociaux dans les compagnies.

Lors de l’explosion des .com les compagnies ont laissées leur gens des technologies s’en occuper. Il aura fallu plusieurs années pour que les compagnies embarquent pleinement dans la «vague» Web. Aujourd’hui le Web 2.0 est social (communautés) et les compagnies veulent s’impliquer parce qu’elles voient l’importance financière d’une présence en ligne.

 

Plusieurs compagnies implantent des systèmes de CRM (Customer Relationship Management) qui utilisent le Web social pour colliger de l’information venant des clients par le biais de forums, blogues, etc. Apports des communautés Web aux compagnies est important:

•génèrent des idées

•rend les impressions des clients plus accessibles

•servent d’outils de marketing

•offrent un support à la clientèle

 

Ces logiciels peuvent colliger une information factuelle: nombre de blogues, de forums, de participants, etc. qui sont en lien avec la compagnie et ses produits, ou même, colliger de l’information de «sentiments» en analysant les mots utilisés dans les communications des clients (mots positifs versus mots négatifs).

 

Selon Nikos Drakos, une directrice de recherche sur les logiciels couvrant les médias sociaux et collaboratifs chez  Gartner,  «au cours des 20 dernières années la «voix»du client a été négligée pour diminuer les coûts d’opérations. Aujourd’hui on redécouvre l’importance de la voix du client pour savoir ce qu’il dit du produit». Les supports technologiques comme Attensity et Radian6 permettent de:

  • écouter la voix du client
  • analyser la voix du client
  • distribuer l’information recueuillie aux bons départements en fonction des buts et opérations de ceux-ci
  • et d’agir.

 

Les médias sociaux peuvent offrir beaucoup d’avantages mais aussi beaucoup d’inconvénients:

Forces Faiblesses
  • les clients ont parfois des solutions plus efficaces que celles de la compagnie

 

  • peut être difficile de colliger toute l’information
  • peut amener des idées pour de nouveaux produits et services ;un genre de R&D

 

  • les clients se tournent vers d’autres clients pour de l’aide plutôt que vers la compagnie…
  • la communauté2.0 diminue le trafic des clients sur les canaux réguliers en fournissant une aide quasi-immédiate des pairs

 

 

 

Bref: «It’ll show the world your flaws as clearly as your strength…»

Voir les articles:

Crafting a Community de Lauren McKay

http://www.destinationcrm.com/articles/Editorial/Magazine-Features/Crafting-a-Community-67442.aspx

The Rise of Social Service, Christopher J. Bucholtz(CRM Buyer)

http://www.crmbuyer.com/story/70835.html?wlc=1290361102

Sylvie Aubin

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Dans son billet Quelle protection (juridique) pour les blogueurs ? Mourad nous parle d’un billet de Julie Townend qui se demande si les blogueurs sont protégés comme les journalistes au niveau de la loi. Elle suggère que les blogueurs s’organise et se protègent légalement. Mourad termine en demandant: «Croyez vous que les blogueurs  peuvent se concerter afin d’initier un tel projet ? Est-ce que le code d’éthique des blogueurs devrait être calqué sur celui des journalistes ?»

À mon avis, non. Je ne peut concevoir qu’il soit possible de représenter légalement un regroupement de gens qui n’a pas, au minimum, une formation similaire et reconnue. Les journalistes peuvent êtres représentés parce qu’ils font partie d’une communauté qui est reconnue, officiellement, selon plusieurs critères. Il existe des programmes universitaires en journalisme, les journalistes travaillent pour de gros employeurs comme les journaux et la télévision, etc. Il va sans dire que tous les journalistes n’ont pas suivi de formation universitaire mais ils ont, généralement, eus à apprendre les rudiments du métier en travaillant dans un des médias mentionnés. À l’inverse, blogue qui veut!

En effet, il n’y a aucun standard de qualité à respecter pour bloguer. La qualité d’un blogueur n’est pas nécessairement proportionnelle au lectorat de son blog. Un blogueur pourrait très bien attirer un grand lectorat par des propos choquants et extrêmes. La qualité n’est pas toujours au rendez-vous…

 

Personnellement tant qu’il n’y aura pas certaines règles ou codes d’établis et que tout un chacun pourra devenir blogueur je ne crois pas qu’il soit possible, voir souhaitable, d’établir des regroupements pour les protégés légalement.

Sylvie Aubin

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Libre accès à l’information:bémol.

Parlons du point 2 du code hacker « toute information devrait être libre et gratuite ». Pour quelle raison exactement ? Désolée mais, si j’ai travaillée fort pendant des années pour bien maîtriser un domaine et des compétences, je ne vois pas pourquoi je devrais transmettre cette information gratuitement à tous.

Si l’on applique cette idéologie à la lettre il n’y aura plus beaucoup de gens pour écrire des livres du genre « how to » ou, même, de simples livres de recettes ! Il est normal, surtout dans une société capitaliste, de vouloir être rémunéré pour un travail accompli. J’ai aussi remarqué que lorsque l’information est gratuite la plupart des gens ne lui accordent que très peu de valeur. Lorsque l’information est gratuite elle ne semble pas avoir le même degré d’importance, de sérieux que celle qui est vendue.

Il va sans dire que de payer pour de l’information ne nous assure pas de la qualité de celle-ci et, inversement, toute information gratuite n’est pas sans valeur.

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Paresse intelectuelle chronique.

Suite au billet de Charles Pauzé « C’est quoi déjà mon mot de passe? »

Effectivement le nombre de mots de passe nécessaire de nos jours est effarant! Grâce à ce cours ma liste c’est substantiellement allongée. Je dois avouer que je souffre de paresse intellectuelle chronique pour toutes ces histoires de mots de passe!

Il devient impossible d’imaginer autant de différents mots de passe et de leurs attribuer suffisamment de signification pour se les rappeler. J’ai utilisé les mêmes noms d’utilisateurs et les mêmes mots de passe tant que j’ai pu! Je sais que je ne suis pas supposée mais qui peut vraiment avoir envie de perdre son temps à « briser » mes codes secrets pour accéder à mon matériel de cours?
Malgré tout je réussie à avoir besoin de consulter mes notes manuscrites pour vérifier quel nom d’utilisateur j’aie utilisée puisque certains sites ne voulaient pas de mon premier choix… Que dire des tordus comme le service technique de l’Université de Montréal qui nous oblige à changer notre mot de passe à tous les trois mois! Non seulement il faut le changer mais ils ont poussé la torture mentale jusqu’à refuser de réutiliser notre ancien mot de passe de l’année précédente! Il faut réinventer un mot de passe complètement différent à chaque trois mois. Argh!

Plusieurs sites demandent maintenant de faire un test de Captcha et, à ma grande honte, je dois avouer qu’il me faut généralement deux essais avant d’y arriver… C’est à croire que nous avons tous de l’information ultra secrète de la plus haute importance. Personnellement à ma part pour AccèsD je ne me casse pas trop la tête avec les noms d’utilisateurs et les mots de passe et j’évite d’inclure de l’information importante dans tous ces services que je dois utiliser : je vous l’avais dit, de la paresse intellectuelle chronique!

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Le monde est petit.

Un article paru dans Workopolis relate quelques anecdotes amusantes de gens qui ont perdus leurs emplois suite à une utilisation imbécile des médias sociaux.

Ce n’est pas nouveau d’aujourd’hui que les gens parlent plus rapidement qu’ils réfléchissent. Toutefois c’est plutôt récent que les stupidités qu’ils énoncent se propagent avant même qu’ils aient le temps de soigner leurs gueules de bois! Il n’y a pas si longtemps le commun des mortels pouvait faire les pires niaiseries et seul un petit groupe de personne était au courant. Aujourd’hui pas besoin d’être une vedette pour que nos bévues deviennent un évènement.

Plusieurs personnes sont devenues tristement « célèbres » avec des médias comme YouTube ou simplement par des envois massifs de courriels rapportant les paroles et faits jugés « drôles ». Ce qui est dommage c’est que même si nous utilisons prudemment et intelligemment ces médias rien ne garantis que nous ne nous y retrouverons pas, de toute façon, à notre désavantage.

Le grand classique des clichés « le monde est petit » n’a jamais été aussi vrai que depuis l’avènement du Web 2.0!

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De l’importance des blogues…

Suite au billet de Charbel Matni « Blogue dans les entreprises ! »

Mais qui sont dont tous ces gens qui lisent des blogues? Bon à la rigueur je veux bien admettre qu’il y ait du monde captivé par les blogues des artistes, politiciens, journalistes et même de certains blogueurs « professionnels » qui charment le public par leur babillage éclairé. Mais des blogues de compagnie?

Pourquoi voudrait-on suivre le blogue d’une compagnie d’arpentage ou de d’installation de fenêtres? Est-ce qu’on ne pourrait pas tout simplement retourner à simplement donner de l’information dans différentes sections du site Web et ajouter les nouveautés dans une section de « questions fréquentes » ou encore dans une section « nouveautés »?

Sur le site qui héberge mon blogue ils ont déjà près de 290 000 blogueurs! Impossible que nous ayons tous quelque chose d’intéressant à dire; moi la première! Il n’y a pas si longtemps il suffisait d’avoir un site Internet mais maintenant il faut un blogue, un fil RSS et être actif sur Twitter. Tout ça ne semble pas améliorer la qualité des produits ou services! On est en droit de se demander à quoi sert d’avoir le « kit complet » pour une compagnie.

J’avoue que jusqu’à peu j’avais tendance à ne pas prendre au sérieux une compagnie qui bloguait… Mais bon, si les politiciens bloguent ça doit être sérieux…

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Les conséquences de la quasi-gratuité du Web.

Dans le module 6 du cours de Web social on parle de l’ouverture que le Web a apporté à la diffusion de l’information:
« Les coûts associés à la diffusion de l’information sous forme électronique sont si minimes qu’ils n’entrent pour ainsi dire plus dans l’équation. »

La notion de quasi gratuité de l’information grâce à l’Internet n’est pas nouvelle. On en parle depuis plusieurs années et elle a fait peur aux grands médias traditionnels, et avec raison. Plusieurs grands journaux, des institutions, ont dus fermer leurs portes suite à la baisse drastique du lectorat. Pourquoi payer pour un journal quand on peut avoir l’information gratuite en ligne? Les journaux ont été les premiers et les plus durement touchés. Mais, souvent, la qualité des reportages en lignes laisse à désirer.

Ce qui est la plus grande force du Web : sa quasi-gratuité est, selon moi, sa plus grande faiblesse. Plus besoin de dépenser des milliers de dollars en publicité quelques dollars par mois et voilà vous avez un hébergement pour votre site que vous pouvez créer vous-mêmes avec des logiciels gratuits offerts par les sites d’hébergement. Vous pensez bien connaître un sujet et aimeriez échanger votre savoir pour de l’argent? Et bien vous n’avez qu’à offrir des cours en ligne.

Il suffit de donner un air professionnel à son site et les gens croient que ce qui y est écrit est la vérité absolue. En fait plusieurs croient même à tous les conseils donnés dans des forums! C’est vrai que ce n’est pas parce que c’est dans un livre que c’est la vérité. Toutefois l’effort et les coûts demandés pour publier un livre demandent réflexion et limitent, plus ou moins, les candidats. Aujourd’hui il est facile et peu coûteux de publier un livre avec des services comme
Lulu.com. Naturellement une fois publié notre livre est loin encore de la distribution!

Pour plusieurs le Web représente la liberté d’expression, la gratuité de l’information et des connaissances en plus d’éclater les frontières. Tout ça est vrai mais ce n’est pas un gage de qualité. J’ai travaillée longtemps avec les oiseaux de compagnie et j’ai pu constater que beaucoup d’information erronée, et souvent dangereuse, circulait sur le Web. Malheureusement il n’y a pas de solution idéale et on ne peut empêcher les gens d’écrire ce qu’ils veulent sur leurs sites et forums. Je dois avouer que j’ai quand même entende et lu beaucoup de mauvaise information lors de conférences et dans des livres… Malgré tout le bassin de gens rejoint par cette information est moindre que par le Web, et c’est une de mes craintes.

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Billet introduction site web usineachiots.com

Visitez mon site Web www.usineachiots.com .

Un site nuancé pour mieux comprendre ce que sont les usines à chiots au Québec, une situation désolante et encore peu connue. Contrairement aux autres sites traitant du même sujet mon site est nuancé et ne donne pas dans une agressivité injustifiée envers tous les gens qui travaillent dans l’industrie animalière.

Vous pourrez y lire les prises de position de l’organisme PIJAC, un organisme canadien qui travaille fort à établir des normes et règlements pour améliorer les conditions de vie des animaux de compagnie.

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